• Alors que je trouve que les magasines consacrés aux X-Men sont bordéliques à souhait ( je pense par exemple à la série Second Coming éditée il y a environ 1 an et demi ) , panini nous sort une mini série consacrée au mutant ancien super-vilain le plus badass de Marvel. Cette série, c'est Magneto «  not a hero » et nous est proposée en intégralité ( heureusement pour 86 pages ) avec une short story Gold, Guns, Girls.

    Cette histoire se passe quelques temps après les conséquences de Schism qui ont vu une scission entre les membres des X-Men. Scott est resté sur Utopia pour former ses élèves ( dont Hope ) tandis que Wolverine reprend l'ancienne école de Charles Xavier renommée maintenant Jean Grey School.

    Magneto tout le monde commence à le savoir est passé du coté des gentils depuis un certain temps maintenant. Après le « clash » entre Logan et Scott, Erik lui reste sur Utopia.

    Mais que se passerait-il si Magneto reprenait ses mauvaises habitudes, c'est à dire tuer ? C'est ce qui semble se passer lorsqu'un meeting anti-mutant est attaqué par un être portant l'armure d'Erik. Aucune personne ne survivra à l'attaque et cela re-attise les tensions entre humains et homo-superiors. L'ancien leader des Brotherhood of Mutants devra prouver son innocence aux yeux du monde pour éviter d'engendrer un conflit comme celui de Schism.

    On est face à un scénario tout à fait classique. L'ancien méchant doit prouver qu'il n'est plus mauvais, pour cela il enquête et découvrira des choses qui vont l'amener à des événements plus ou moins graves. Sauf que le coté classique rend le récit plat et sans réel intérêt. On lit le récit certes rapidement mais on est absolument pas surprit parce qui se passe. Pire, les facilités scénaristiques sont assez exaspérantes. Sans dévoiler l'intrigue de manière détaillée, on a une révélation qui peut faire pousser un soupir «  ils l'ont fait, mouais ». De plus on se retrouve avec une fin que je trouve bâclée, qui arrive en quelques pages et qui est quand même vraiment cliché.

    Coté dessin c'est assez correct mais pas transcendant. Clay Mann réussi à faire quelque chose qui se laisse lire et qui reste assez agréable. Cependant quelques plans pèchent réellement en devenant très brouillons. On sait pas toujours où on se trouve et ça bloque légèrement la lecture. Malgré tout l'histoire se suit agréablement et on peut facilement pardonner les quelques problèmes de plans même si ça n'est pas non plus extraordinaire.

     

    Magneto Not a hero est donc une série sympathique. Elle n'a aucun impact réel sur la continuité et n'est pas un des récits les plus intelligents mais globalement ça se laisse lire. Si le personnage vous intéresse ou vous intrigue, tentez l'aventure. C'est court et « seulement » 5€50 donc cela reste au final ça reste une petite lecture pop-corn.

    Cyborgwolf

              


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  • azrael cover1

    Azraël dans certaines traditions hébraïques signifie Ange de la mort , il est non pas " la mort " mais le bras droit de Dieu pour accomplir certaines " tâches " . Ce personnage est le même à la fois pour le Judaïsme que dans l'Islam. 

    Mais ce n'est pas de religion dont il est question mais de Comics.

    Dans l'univers de DC, Azrael est un guerrier "créé" par l'ordre de Saint Dumas l'ordre religieux antique ( comme les croisés, les templiers et les maçons, qui ont une conception du saint Graal différente selon les époques. L'ordre de Saint Dumas lui est une création de DC ) pour apporter la " parole " de Dieu dans le monde ... 


    Azrael n'est pas un personnage à proprement parler mais un groupe d'assassins appliquant une justice divine ( Comme le véritable archange Azraël le fait dans l'Islam ). Le personnage apparaît pour la première fois en 1992. 
    On remarquera la très grande similitude avec l'ordre des assassins du jeu Assassin Creed qui s'inspirent du même " mythe " religieux avec le même ordre saint devant protéger les reliques du messie ( pour la version chrétienne du moins ). Les costumes des assassins et celui d'Azrael sont d'ailleurs assez ressemblants.

     

    comparaison azrael

    Le personnage fait d'ailleurs une petite apparition dans le jeu Batman Arkham City au terme d'une des missions secondaires.

    Pourquoi Azrael est-il important ? 

    Tout simplement parce qu'outre le fait qu'il soit un personnage qui soit très classe, il est aussi très important. 

    En effet durant Knightfall en 1994, durant son combat contre Bane réédité à la fois en VO et depuis peu en VF, Bruce Wayne a la colonne vertébrale brisée par le genoux du géant et a complètement disparu de Gotham City mais Batman lui n'avait pas disparut. C'était en effet le premier Azrael Jean-Paul Valley qui prit le costume de la chauve-souris pour faire régner la justice de manière assez ... Sanglante 
    On pouvait facilement savoir que ce n'était pas le même Batman de part son costume qui était alors devenu plus mécanique afin de faire des dégâts. Cette armure était révélée à Jean Paul à travers diverses révélations qui l'aideront à former petit à petit l'armure complète du « nouveau » Batman.

     

    knightfall azrael

     

    Après plusieurs mois de convalescence et d'aventures l'aidant à devenir plus fort psychologiquement, Bruce Wayne revient à Gotham. Il reprend son ancien costume et part à la rencontre d'Azrael pour faire lui faire arrêter sa quête sanglante de la justice. Au terme d'un affrontement, Wayne convainc Valley d'abandonner le costume et le rôle de Batman pour le laisser faire son travail à sa manière. On se rend compte à ce moment que malgré ses méthodes violentes, Azrael n'est pas un super-vilain, il œuvrait vraiment pour la justice.

     

    Azrael a eu plusieurs séries dont une dans les années 90 et celle de 18 épisodes sortie entre 2009 et 2010. C'est celle-ci qui nous intéresse.

    On y suit Michael Lane devenu Azrael et devant faire face à la fois à son passé et à des ennemis issus de sa "culture".
    Niveau scénario la série tient bien la route, les différents ennemis ont un charisme qui changent des vilains de la série Batman. L'ambiance religieuse qui se dégage du titre n'est pas superficielle et arrive à donner un véritable cachet à la série. La vie « civile » religieuse est elle aussi bien traitée. Quant à Lane, le personnage est plutôt bien traité. Que ce soit en tant qu'Azrael ou dans la vie de tous les jours, on sent que le personnage est toujours tiraillé et doit faire attention à ses proches. L'histoire est aussi ponctuée de flashbacks qui nous montrent la vie passée de Michael. Ils servent à nous faire rentrer un peu plus dans le personnage à travers les différentes horreurs qu'il a pu voir, et c'est assez réussi.

    Cette série réussi l'exploit de nous plonger dans un Gotham différent de celui que l'on voit habituellement. C'est en effet un gotham « civil » qui est dépeint avec les problèmes des habitants. On y voit des tensions religieuses et d'autres problèmes de société que l'on retrouve dans la vie de tous les jours. Il est donc agréable de sortir des canons de Gotham pour proposer quelque chose de plus terre à terre ( malgré le domaine mystique très présent ).

    Coté dessin c'est vraiment une réussite. Les planches sont très belles et le coté mystique ressort bien dans l'ensemble. Ce n'est certes pas une claque graphique mais le tout tient la route et arrive à nous faire rentrer dans l'histoire.

    Il faut noter que les covers elles aussi sont vraiment magnifiques pour la plupart en faisant penser à des peintures religieuses très réussies.

     


    Cette série est donc une très bonne surprise. Nous plongeant dans un univers mystique plutôt crédible avec de bon personnages, les 18 numéros se laissent lire très facilement. De plus les dessins servent très bien l'histoire. C'est donc une série à suivre pour peu que le coté religieux ne rebute pas. À titre personnel, je trouve dommage que le new 52 n'accueille pas encore ce personnage. J'espère réellement qu'il finira par apparaître car il serait dommage de passer à coté.

    Cyborgwolf

    En bonus, des exemples de mes couvertures préférées.
     

    cover1
     
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  • AmazingFantasy15Cette année Peter Parker fête ses 50 ans de métier de super-héros. C'est en effet en juin 1962 ( et pas août ) que l'homme araignée faisait sa première apparition dans le comic book «  amazing fantasy » #15 dont la couverture est aujourd'hui très connue et même souvent parodiée ( on pense à la parodie de Deadpool ).

     

     

     

    C'est en août (!) que Marvel a décidé de fêter l'anniversaire du tisseur en sortant un numéro spécial plus long que d'habitude. Ainsi pour le numéro 692, The Amazing Spider-Man contient 3 histoires différentes. La première reste dans la continuité à l'inverse des deux autres.

    À l'occasion de cet anniversaire, Marco Martin ( Daredevil avec Mark Waid, Batgirl Year One … ) a réalisé 5 sublimes couvertures variants reprenant 5 périodes marquantes de la vie de Peter Parker.

     

    detail (1)

    The Amazing Spider-Man #692

     

    Ce numéro se divise donc en 3 parties qui sont 3 histoires différentes ( dont 2 à l'époque actuelle ). Alpha, Spider-Man for a night et enfin Just Right.

    Point of origins :

    prv12829_pg2

    Dans cette première histoire, Peter Parker a décidé de montrer au monde les résultats de ses recherches sur une particule qu'il nomme lui même la Parker Particule. Pour cela une classe de lycéens est invités dans le laboratoire pour assister à une démonstration de Peter.

    Dans cette classe se trouve le jeune Andy Maguire, souvent à l'écart de sa classe où personne ne le connaît réellement. Il n'est pas vraiment « geek » comme l'était Parker, mais cela n'empêche pas qu'il ne se sent pas proche des autres. Au cours de la démonstration de Peter, Andy est touché par un rayon qui va lui changer la vie. Il obtient des super pouvoirs d'une puissance inimaginable. Peter Parker se sentant ( et il l'est forcément ) responsable de l'état d'Andy, devient alors son mentor ( après des péripéties que je laisse le lecteur découvrir ).

     

    On a donc ici une histoire qui change totalement la vie de Spider-Man ( d'ailleurs Parker n'est pas du tout le « héros » de ce récit, chose paradoxale pour un numéro anniversaire ). Alors que depuis un certains temps parker vit seul et fait ce qu'il veut à son travail, il commence ici à avoir des responsabilités.

    Que dire ? Les pages s'enchaînent bien et c'est assez intéressant bien qu'ultra classique ( on dirait presque une version «  season one » de Spider-Man ). La différence entre Alpha et Parker est bien notable ( trop peut être ? ) et on sent que la « cohabitation » va être un peu difficile.

    Le seul reproche à faire à cette histoire est le prétexte quasi « bidon » qui est donné pour justifier que ce soit Parker qui devienne le mentor d'Alpha. Mais sinon, cela reste de bonne facture.

     

    Spider-Man for a night :

    L'histoire prend place directement après le Amazing Spider-Man 50 dans lequel Parker décide d'abandonner le costume d'homme araignée. Ici un petit délinquant récupère le costume qu'il trouve dans une poubelle et décide de le mettre pour commettre des délits. C'est un récit assez «  puritain » dans l'âme qui colle bien au personnage de Spider-Man il y a quelques décennies. Spider-Man ne doit pas faire le mal car c'est un héros.

    Bien que ce passage soit assez court, cela reste une lecture sympathique avec deux dernières pages plutôt touchantes.

     

    Just Right :

    On a tous un mauvais jour, un jour où tout va mal et où on se dit que rester au lit est la seule solution. C'est le cas de Parker dans ce récit où tout et fait pour le faire craquer.

    Mais il va alors rencontrer un jeune garçon qui semble être un de ses fans. Avec lui il va passer une journée un peu différente de son quotidien.

    Cette histoire possède deux points forts : Tout d'abord c'est vraiment drôle. Les mésaventures de Parker au court de sa journée sont vraiment drôles et on a presque pitié pour lui au bout d'un moment.

    Le second point est le jeune fan de Spidey. Il rappelle un peu ce membre de la famille ou nous même quelques années auparavant. Possèdant un t-shirt de Spider-Man ou un autre goodies, parfois un peu menteur pour tenter de se faire accepter comme tous les enfants le font à un moment ou un autre. Bref ce personnage, c'est nous, et du coup on est prit d'affection pour ce récit qui est quand même touchant en plus d'être drôle.

     

    Pour les 50 ans de Spider-Man, Marvel s'est donné les moyens avec les 3 histoires de ce numéro 692 qui ferait presque office de hors-série. À travers ses récits on a la preuve d'amours que les différents auteurs ont pour le tisseur, et on se souvient que nous aussi on l'aime toujours autant depuis qu'on est gamins. En bref, ce numéro est une réussite que l'on ne peut que conseiller !

    Cyborgwolf

     

    1960s1

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  • GAMBIT2

    Gambit #2 – Août 2012 – 3$

     

    Sorti le mois dernier, le premier numéro de la nouvelle série du voleur cajun semblait prometteur et m'avait laissé plutôt enthousiaste quant à la suite. En occultant le cliffhanger très moyen, l'histoire était plutôt bien menée et le dessin était loin d'être moche. Peut-on en dire autant de ce numéro 2 ? La réponse est claire : non.

     

    Clairement, je me suis ennuyé en lisant ce titre. Pas que ce soit nul, mais rien ne m'a captivé. Grosso modo, on suit la même recette que le premier. Mais là ou le cambriolage du #1 était bien mis en scène, James Asmus accumule ici les clichés. Et c'est dur à concevoir, mais même dans un single de 20 pages, certaines scènes m'ont parues se traîner en longueur...

     

    jbgnv

    Quand je vous dis que c'est cliché...

    Côté dessin, Clay Mann m'a semblé un peu en dessous du numéro 1. Non, ce n'est pas laid, mais non, ce n'est pas transcendant.

    Que reste-t-il à sauver, dans ce cas ? Le tout début, et la toute fin. Un personnage très inspiré Matrix qui donne un ton humoristique pour ouvrir l'histoire, et une fin qui me donne quand même envie de lire la suite. 

     

    Gambit-2-020
    Bon je vous l'accorde, voir une femme se faire rentrer dedans en voiture, c'est quand même drôle
     

     

    Gambit est loin d'être une mauvaise série, mais il y a clairement mieux. Encore une fois, ce n'est que le numéro 2, difficile de juger sur le long terme. Et j'ai tout de même envie de voir la direction que prendra l'histoire.

    DevilPoulet


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    BW_RORSCHACH_1

      Rorschach #1, Aout 2012 - DC Comics - 4$

     

    Commençons par un peu d'histoire. 1986, sortie d'un comic-book qui va révolutionner le genre. Scénarisé par Alan Moore et dessiné par Dave Gibbons, Watchmen boulverse les codes du super-héro. L’œuvre devient rapidement populaire, acclamée par le public et la critique, et s'impose comme un des meilleur « graphic novel » de tous les temps.

    Petit bémol : suite à un tour de passe-passe à base de petits caractères sur les contrats, Moore n'a jamais rien touché sur son œuvre et c'est DC qui a tout empoché.

     

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    25 ans plus tard.

    Début février, DC faisait jazzer dans les chaumières en annonçant une préquelle à l’œuvre de Moore. Légitimement, des voix se sont élevées contre cette décision, critiquant une politique purement commerciale de la Distinguée Concurrence. Le maître lui-même s'exprime sur le sujet, avançant que les plus grandes œuvres littéraire n'ont jamais eu besoin de préquelle ou de suite.

    La communauté de lecteurs se scinde en deux, les pro et les anti-Before Watchmen.

    Concrètement, BW est composé de 7 mini-séries de 4 ou 6 numéros (une série par personnage : Ozymandias, Rorschach, Silk Spectre...) et d'un épilogue. Chaque série est scénarisée et dessinée par un duo d'auteurs/dessinateurs. Et quand on voit la batterie d'artistes qui travaillent sur la préquelle, on se dit que DC n'y est pas allé avec le dos de la main morte. Citons au hasard J. Michael Straczynski, Darwyn Cooke, Brian Azzarello, Andy Kubert, le désormais regretté Joe Kubert...

     

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    Bien entendu, Rorschach est un des plus attendu au tournant. Scénarisé par Brian Azzarello et dessiné par Lee Bermejo, autant dire qu'on en attendait pas moins pour un des personnage les plus emblématique de l'univers des comics.

    Après une première lecture, le constat est mitigé. Mes attentes étaient-elles trop grandes ? Le fait est que le récit se lit très bien, très vite, mais ne nous apprend strictement rien sur le passé de Rorschach. Là ou les Minutement présentaient une équipe révolue, ou Silk Spectre revenait sur son passé teinté de hippisme (de la communauté hippie hein, pas des courses épiques !), Rorschach pourrait tout à fait se dérouler dans l'histoire « normale » de Watchmen.

    Le schéma est le même que dans l’œuvre de Moore : une histoire de meurtre, Walter qui chercher l'assassin, des bastons et des membres qui se brisent. Certes, c'est le minimum qu'on attendait, mais vraiment le strict minimum. On m'aurait pas dit que je lisais du Before Watchmen, ce premier numéro aurait très bien pu être « Que fait Rorschach quand il ne fait pas partie des Watchmen ». Le seul indice de temps que l'on ait est la date sur son journal : 1977.

     
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    L'intérêt du titre, puisqu'il y en a quand même un, est l'enquête. Notre justicier a affaire à un tueur en série, « The Bard », et va explorer la « basse ville », les quartiers mal famés. Le décors sert très bien l'art de Lee Bermejo qui livre un travail que je trouve magnifique. Classique, certes, mais magnifique. Le découpage des cases est assez dynamique et sert bien un titre qui fait la belle part aux scènes d'actions.

    Malheureusement, moi qui espérait beaucoup en découvrir plus sur le passé et l'enfance à proprement parlée du rouquin, nenni nenni. L'histoire est intéressante, certes, mais aurait pu l'être infiniment plus.

     
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    Enfin, on retrouve à la fin, comme dans chaque numéro, l'équivalent des « Tales of the Black Freighter ». Si Moore en faisait une mise en abyme intelligente qui reflétait l'histoire, le « Curse of the Crimson Corsair » n'est en rien inséré dans le récit et m'a simplement ennuyé. Cela présente certainement un intérêt quelconque pour ceux qui liront chaque numéro de Before Watchmen, à voir lorsque la série paraîtra en HC.

     

    Il est difficile de juger sur un premier numéro. On est dans quelque chose de classique, on retrouve le Rorschach qu'on connaît, mais c'est justement ça le problème. J'aurais voulu voir quelque chose de nouveau, être surpris par ce qu'Azzarello aurait pu m'apprendre sur le personnage.

    J’attends tout de même la suite (parce que j'ai déjà payé le reste, certes...). Le prochain numéro constituera déjà la moitié de la mini-série qui n'en compte que 4, espérons donc qu'on aura droit à un tournant scénaristique. A lire pour les fans hardcore du personnage, ou les complétistes qui veulent toute la série en single.  

    DevilPoulet


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