• Alors que la saison 7 a reprit il a plus d’une semaine et que le 50ème anniversaire de la série arrive à grand pas, je me devais de parler de Doctor Who au moins une fois sur ce site. Il me fallait donc un prétexte ; un rapport avec les comics. Et c’est IDW qui m’offre cette opportunité avec une nouvelle réédition des Doctor Who Classic parus originellement en 1989 dans Doctor Who Magazine. Il faut noter que ce n’est pas la première réédition. En effet les épisodes étaient déjà sortis en albums en 2008. On se doute que c’est pour coller à l’anniversaire de la série et donc faire des ventes en plus, mais ça permet de redécouvrir des classiques (puisque c’est le titre) de cette série.

    Ce premier numéro contient 2 histoires dont la première est en deux parties et nous sommes en présence du septième docteur interprété à l’écran par monsieur Silvester McCoy ( de 87 à 89 puis en 94 et 96 dans des téléfilms spin-of ). McCoy était d’ailleurs présent lors de la première édition de la Paris Comics Expo. Si vous avez eu l’occasion de discuter avec lui vous avez alors pu vous rendre contre à quel point cet homme est drôle et passionnant !  

    Ce numéro contient 2 récits : Time and Tide qui était à l’origine divisé en 2 parties, et Follow that Tardis .         

    Time and Tide : Dans cette histoire le 7ème docteur arrive sur la planète Tojana. A son arrivée il est prit dans une vague et le Tardis est perdu au milieu de la mer. Il décidera de visiter l’endroit qui semble être une île et tombera sur les indigènes qui décideront de le capturer pour probablement le manger. Il sera sauvé in extremis par l’un des autochtone qui lui révélera que la fin du monde sur lequel ils se trouvent est proche à cause de l’engloutissement des terres par l’océan. Le docteur va donc tenter de convaincre les autochtones de sauver leurs vies.

    L’histoire est à la fois drôle et tragique. Les réactions du docteur face aux habitants de la planète est parfois hilarant. Il n’hésite pas à les traiter d’idiots à cause de leur indifférence face à la mort certaine  qui les attend. Et c’est là qu’intervient le coté tragique. Le docteur est confronté face à un peuple qui se fiche de mourir et qui décide de festoyer plutôt que de tenter de survivre. Bien que le dénouement soit plutôt rassurante on reste face à une fin qui symbolise l’espoir et la renaissance (je vous laisse découvrir pourquoi).

    Follow that Tardis : Dans cette histoire nous sommes dans un futur plus ou moins proche sur Terre. Le docteur va rencontrer TheMeddling Monk un de ses « ennemis » qui avec sa machine temporelle a heurté la voiture de El Ape et Deadbeat, deux brigands/mafieux qui ressemblent aux blues brother. Le Monk profite de l’arrivée du docteur pour s’enfuir et les deux compères vont ordonner au docteur de prendre en chasse le fuyard à travers le temps. Les 3 compagnons de fortune se retrouveront à plusieurs époques et plusieurs endroits différents notamment sur le Titanic.

    C’est une histoire courte plutôt sympathique et drôle où on y voit la bêtise des deux brigands et on découvre certaines scènes historiques. Bien que l’histoire soit globalement légèrement brouillonne, la fin est plutôt amusante et bien trouvée.

    Coté dessin on peut dire que ça a plutôt bien vieillit avec un très certes atypique mais plutôt agréable à l’œil. Cette réédition est colorisée et permet pour la première histoire de différencier les différents aliens qui ont un trait quasi unique ce qui rend la différenciation difficile en noir et blanc.  Le dessin permet aussi d’avoir des paysages et une ambiance qu’il aurait été difficile à rendre en séries à cause des moyens de la série et des technologies de l’époque. Le comics est donc un gros atout dans ce cas grâce à une maîtrise des dessins.

    Ce premier numéro est donc une petite réussite pour tous les fans du docteur. Une histoire classic et écrites uniquement pour sortir en comics, le caractère du docteur est plutôt bien retranscrit, des dessins de bonne facture et une colorisation réussie. Si vous êtes fan de l’univers et souhaitez découvrir les classics de cette série vous pouvez vous lancer dans la lecture de ce premier numéro. 

    Cyborgwolf


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    En bon produit de consommation pour jeunes adultes dont l'idiotie n'a d'égale que l'asociabilité, le comics flirte souvent avec le badass histoire d'attirer du lecteur en quête de figures masculines fortes (c'est le moins qu'on puisse dire), que l'on pense à l'équipe de malfaiteurs qui ont fondé Image dans les années 90 ou à des merveilles de post-modernisme (on déconne) comme la série TDK du New 52. Mais le bon badass, celui qui procure un délicieux sentiment de rire , de kitsch et de jouissance mêlés devant sa violence débridée et pas toujours justifiée, cela existe, et les équipes successives de 2000 A.D., le célèbre magazine de comics SF britannique, font ça très bien depuis 77 sur des titres comme Flesh, ABC warriors ou encore Judge Dredd. C'est justement de ce dernier héros que l'on va parler à l'occasion de la sortie hier du #1 d'une nouvelle série, Judge Dredd : Year One, scénarisée par Matt Smith et dessinée par Simon Coleby.

    Pour les lecteurs peu habitués à l'univers de Judge Dredd (honte à eux, et on les encourage à corriger ça le plus rapidement possible), on résume rapidement : Il règne à Mega-City One, une mégapole tentaculaire et futuriste caractérisée principalement par son taux de criminalité exceptionnel, un mode de justice assez particulier où les judges, des justiciers du futur armés jusqu'aux dents, cumulent sur le terrain les fonctions de juges, de policiers et surtout de bourreaux. Voilà pour la contextualisation sommaire. Le propos de la série, confiée pour l'écriture à l'éditeur du magazine en personne, est assez simple : l'auteur nous convie à un petit voyage temporel pour suivre les patrouilles du jeune juge Dredd, environ un an après sa sortie de l'académie de Mega-City One. L'issue est plutôt bien rythmée entre patrouilles survitaminées du héros, qui garantissent au titre sa dose d'action indispensable (la scène de la poursuite par exemple déménage bien), et émergence mystérieuse de pouvoirs chez plusieurs jeunes gens qui permet de construire une intrigue vers les futurs numéros. On sent chez Smith, bien que peu accoutumé au travail de création en tant qu'éditeur, une très bonne connaissance de l'univers et on retrouve avec plaisir les éléments emblématiques de la série anglaise : les motos géantes, les gros calibres, la psi-division...

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    Au crayon et à l'encrage, c'est encore une fois un vieux briscard du magazine, Simon Coleby, qui assure le boulot, puisqu'on l'a vu notamment sur Judge Dredd, Rogue Trooper ou sur Sinister Dexter. Comme à son habitude sur ces titres, il fournit un trait agréable et dynamique et nous fait véritablement voyager depuis les ruelles sordides peuplées de punks crasseux jusqu'aux tours toujours très aériennes de l'administration des juges. Habitué de la série, il ne révolutionne probablement pas grand chose dans le character design mais constitue une réelle valeur sûre de fait. Ça coincera peut-être au niveau des plus opiniâtres, encore que, mais le néophyte découvrira, on espère avec plaisir, la bonne vieille combi et les épaulettes ultra rembourrées. Badass, on vous dit. La colo suit une logique comparable, assez sobre pour bien coller à la série, les bonnes couleurs se détachent aux bons moments, classique et adaptée, rien à redire de ce côté là. Deux covers sont disponibles : la regular de Greg Staples se partage entre un arrière plan superbe du trafic aérien de la ville et une pose ultra classe de Dredd sur sa bécane, la variant par Ezquerra, co-créateur du personnage, nous montre un gros Dredd tout en muscle. A réserver de préférence aux amateurs de la première série, les nouveaux arrivants ne goûtant pas forcément au charme un peu désuet du gros bourrin qu'on leur présente. Mais après tout, c'est aussi ce qu'on aime sur ce genre de titres.

    Judge Dredd : Year One 1 constitue donc un bon début de série, ni trop mou, ni trop con, qui convient aussi bien à un débutant voulant se lancer dans le perso qu'à un amateur du plus cool des magazines britanniques cherchant sa dose. A voir donc, si la série parvient à continuer sur ce premier bon jet. On paye pour voir, et n'oubliez pas : « FREEZE, CREEP ! »

    SImon

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    Lors de la Comic Con 2012, IDW a annoncé la sortie d'un annual pour la série Teenage Mutant Ninja Turtles. Alors qu'on aurait pu s'attendre à une sortie tout ce qu'il y a de plus banal, IDW a aussi révélé le grand retour de Kevin Eastman ( co créateur des 4 tortues ) au dessin et en au scénario en duo avec Tom Waltz. Autant dire que c'est avec impatience que j'attendais cette publication. 

    Mais cela valait-il le coup d'attendre ?

    L'histoire prend place alors que Raph' et Casey chahutent pendant leur sortie nocturne. Casey perdra sa batte de baseball qui va tomber sur le lieux d'un accident de voiture. Alors que les deux amis tentent d'aider les occupants de la voiture, ils voient une mallette littéralement voler au dessus d'eux. Plusieurs gangs tenteront de récupérer cette mallette qui semble contenir quelque chose d'important que ce soit pour les Savates ( groupe de français ) ou le Foot Clan.

    Cet annual scénarisé par Eastman est assez intéressant. Tout d'abord la relation entre Casey et Raphael est mise au premier plan. Les deux sont toujours aussi drôles ensemble, ils se lancent toujours autant de vannes et se mettent dans des situations pas possible. Eastman confirme qu'il arrive à toujours être juste quand il touche à ses deux personnages.

    L'histoire principale en elle même est aussi sympathique à suivre. Le début cependant reste vraiment brouillon ( une habitude quand Eastman est à la barre même si dans ce cas il est avec Waltz ). On a du mal à comprendre qui sont les différents intervenants, leurs motivations et il faut bien admettre que cela alourdi la lecture. Le problème principal reste les retours dans le temps : Tous les 4 / 5 pages nous avons un «  5 minutes avant » qui vient couper le rythme et qui embrouille tout, même si ces passages sont au final nécessaires pour comprendre les motivations des personnages présents. Mais heureusement l'histoire reprend très vite un rythme de narration normal ce qui est réellement appréciable. On retrouve ainsi l'humour propre à la série avec des personnages stupides et des dialogues plutôt bien écrits qui sont souvent très drôles. Au final même si le récit reste assez simple avec des gangs rivaux et les héros pris entre les deux, le tout reste plaisant à lire surtout car on sent que Eastman est aux commandes et il faut bien l'avouer même si la série actuelle reste de très bonne qualité, il nous manquait ! Le duo Eastman / Waltz s'avère donc plutôt convainquant et on en redemanderait presque encore. Enfin dernier point sur le scénario : Il n'est pas nécessaire de suivre la série en cours pour comprendre ce qui se passe mais quelques connaissances de l'univers des tortues sera demandé notamment pour savoir quels sont les clans qui s'affrontent.

       

    Eastman s'occupe des dessins seuls et on retrouve avec plaisir son style si particulier. On note qu'il maîtrise mieux le dessin qu'auparavant pour les tortues. Lors de leur création elles avaient une tête plutôt déformée et ressemblaient à des tortues uniquement grâce à leur carapaces. Ici elles sont donc représentées comme on en a l'habitude depuis quelques années maintenant et cela fait plaisir. Les environnement urbains sont plutôt corrects aussi et on sent le coté « sale » de la ville et de ses bas-fonds notamment grâce à un trait assez appuyé et un fond gris plutôt que blanc. Pour en terminer sur le dessin, on note que tout l'album est en noir et blanc exactement comme lors de la sortie des premiers épisodes fin 80. Un mot sur la cover en couleur est plutôt réussie et qui est en couleur.

    Au final cet annual est de très bonne qualité. Avec un scénario simple mais efficace, des dessins qui font penser aux débuts des tortues et le fait qu'il soit édité comme un petit album souple ( Trade Paper Back ) le rend indispensable pour les fans des tortues et d'Eastman. Malgré tout on pourra cependant avoir des réserves par rapport au prix un peu élevé ( un peu plus de 8 dollars ) même si au final le retour d'Eastman les vaut.

    Cyborgwolf


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    Nos Tortues mutantes préférées ayant effectué un retour de très bonne facture chez IDW dès août 2011, la firme a décidé de créer des one-shot centrés sur les personnages importants. C'est ainsi qu'on a eu le droit à une nouvelle gamme « Micro-Series » tout d'abord en singles puis en albums. Vous pouvez retrouver la critique du premier tome ici même écrite par mes soins http:// http://comics-corps.kazeo.com/idw/teenage-mutant-ninja-turtles-micros-series-1,a3288767.html Ce début n'ayant pas laissé une très grande impression, qu'en est-il de ce second album qui je le rappelle se concentre à nouveau sur Splinter puis sur Casey, April et le Fugitoid. Notons qu'il faut avoir lu le volume 3 Shadow of the Past car toutes les histoires font références à ce qui s'est déjà passé ( ou qui est en cours ).

    Splinter : Splinter nous raconte son ancienne vie avant sa mort et celle de ses fils. Son entraînement avec son maître, sa rencontre avec sa femme et la relation qu'il entretenait avec Oroku Saki son rival de toujours. Assez touchant et beau à la fois l'histoire est vraiment plaisante mais est malheureusement gâchée par des dessins pas du tout à la hauteur du récit, les visages sont par exemple le gros point faible de l'histoire. Cependant on arrive à faire plus ou moins abstraction pour apprécier l'histoire. Les scènes dans le présent ; l'affrontement entre Splinter et le Foot Clan est aussi intéressant grâce au monologue du rat.

    Casey Jones : Ici on se concentre sur les problèmes familiaux de Casey, la relation compliquée qu'il entretient avec son père alcoolique depuis la mort de sa femme. Dans ce récit Casey et Raph tentent de régler les problèmes de dettes liées au jeu d'argent que son père a accumulé. C'est aussi l'occasion d'en savoir plus sur le passé de sa famille.

    L'histoire est assez triste et bien menée, on comprend les motivations de Caseys, sa relation tumultueuse avec son père et les révélations sur son drame familial est bien exploité.

    Les dessins quand à eux sont bien meilleurs que pour l'histoire de Splinter.

      

    April : La jeune April tente de découvrir les secrets qui se cachent dans le labo où elle travaillait en tant que stagiaire. C'est l'occasion pour elle de se livrer à un monologue intérieur sur ce qui lui arrive dans sa vie.

    L'intérêt de ce one-shot est de voir les états d'âmes de la jeune héroïne. En effet elle a découvert depuis peu l'existence des tortues et surtout qu'elle les a baptisée elle même ce qui est quelque chose de dur à avaler. Mais le coté «  espionnage » n'est pas abandonné et April tente de découvrir les secrets liés aux tortues. À la fin du numéro on aura un petit cliffhanger qui laisse présager du bon pour la suite. Au final c'est un épisode plutôt bon avec des dessins assez inégaux. Le style est plutôt plaisant et le style d'April est plutôt sympa, cependant certaines planches restent plus faibles.

    Fugitoid : Fugitoid est un robot créé par un scientifique sur le monde originel du général Krang. Ce robot à la capacité de prendre l'apparence d'un être quelconque. Ce dernier O-S est l'occasion de faire un focus sur le monde de Krang et ce qui s'est passé avant qu'il n'arrive sur Terre. Je n'en dirais pas plus pour éviter les spoils involontaires. Ce que l'on peut dire est que ce numéro est de qualité bien que très classique. Très vite on comprend ce qui va se passer. Mais au moins cela reste sympathique et cela donne des éclaircissements sur le background de la planète.

    Coté dessin, c'est malheureusement du même niveau que le numéro sur Splinter. Mais ici l'histoire étant moins prenante, on a plus de mal à passer outre.

    Au final cet album est important pour les révélations et pour voir le passé de certains personnages. Si vous avez aimé la série régulière alors il ne faut pas hésiter. Il est vrai que le dessin n'est pas toujours à la hauteur mais globalement cela reste correct. De plus il n'y a pas plus de numéros pour l'instant donc ce n'est pas un gros investissement en plus de l'ongoing ( série régulière ).

            

     


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  • Le 21 février 2012 sortait le premier tome de la nouvelle séries des Teenage Mutant Ninja Turtles intitulé « Change is constant », dans lequel nous reprenions les bases de l'histoire des tortues en modifiants certains éléments que je ne dévoilerai pas (il suffit de lire et de connaître un minimum l'histoire originelle ). Mais dans ce récit, les tortues ne sont pas 4 mais 3. En effet, Raphael est perdu en ville à la suite de leur mutation et fera la rencontre du jeune Casey. Pendant ce temps, les 3 autres frères recherchent toujours Raphael et devront affronter Hob, un chat qui a été touché par le mutagène et qui a subi des transformations génétiques. Hob est envoyé pour récupérer Splinter par le scientifique qui procédait aux expérimentations sur différents animaux, dont les tortues. Au terme de l'album, les 3 tortues retrouvent leur frère et arrivent à mettre Hob en fuite.

    Dans le tome 2, les tortues sont réunies et Splinter raconte leur véritable identité à Leonardo. C'est à ce moment là que l'on découvre la vie passée de Splinter dans un Japon féodal impitoyable.

    Michelangelo et Raphael, quant à eux, voient un guerrier français aux prises avec des membres du foot clan.

    Pendant ce temps, Hob, de retour chez le scientifique, se verra donner le contrôle d'une armée de Mouser. Il a toujours pour mission de ramener Splinter chez le scientifique.

     

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    Enfin de son coté, Casey décide de reprendre sa vie en main en répondant à une annonce qui propose de l'aide dans certains cours en échange de cours d'auto-défense. Les origines racontées par Splinter ne sont pas contées en une fois. Ainsi, on a, tout au long du récit, des éléments qui racontent l'histoire de sa déchéance en tant que Samouraï. Hamato Yoshi devra en effet affronter de terribles épreuves infligées par son rival Oroku Saki (qui a récemment créé le foot clan). Ces pages sont assez jolies, et les couleurs typiques de la représentation du Japon féodal contrastent fortement avec le propos assez dur de l'histoire.

    Pour le reste, le récit reste assez classique mais agréable à suivre, les histoires respectives d'April et Casey faisant avancer l'histoire à leur manière. Il est aussi plaisant de retrouver un « ennemi » qui est devenu une figure emblématique de l'univers des tortues, j'ai nommé les Mouser. Cependant, vu que leurs origines ont été modifiées, je trouve que le nom n'a plus trop d'intérêt mais ce serait chipoter que d'en tenir rigueur.

     

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    Globalement, ce tome 2 est plutôt bon et on a affaire à une histoire des TMNT comme on aime en voir. Les dessins ne sont pas toujours extraordinaires et le speech peut paraître simple mais globalement, l'album est de bonne facture. Ainsi, si vous avez apprécié le tome 1 n'hésitez pas à lire celui-ci. Pour les novices rien de tel que d'essayer de lire les deux, ils constituent un très bon point d'entrée pour un nouvel univers des TMNT.  


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