• Ce mois-ci, Thanos est à l'honneur chez Marvel. Brièvement aperçu à la fin d'Avengers, La maison des idée surfe sur le succès d'un anti-héros peu connu du grand public et re-publie sous forme de one-shot deux récits de Jim Stalin, créateur du personnage et maître incontesté des sagas cosmiques.

    The Thanos Quest

     

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    Sorti en 1990, The Thanos Quest narre les pérégrinations du titan fou dans son ultime espoir de reconquérir son amour éternel, Death, la personnification de la mort. Pour ce faire, il se met en quête des 6 Infinity Gems, des artefacts cosmiques qui, réunies, offrent un pouvoir sans limite et un contrôle quasi-total de l'univers.

    Bien entendu, les gemmes sont éparpillées aux confins de l'espace et des dimensions, et appartiennent à différents Elders, sortes d'entités cosmiques très puissantes. Et inutile de préciser qu'ils ne sont pas prêts à se séparer de leurs trésor, du moins pas de la manière douce. Thanos affrontera des ennemis aux noms aussi folkloriques que l'In-Betweener, The Gardener ou encore The Grandmaster.

     

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    Ne lisant pas de cosmique, j'étais assez perplexe avant de commencer ce numéro. Débuter dans cet univers, c'est un peu comme se lancer dans une histoire qui à 10 000 ans de continuité, avec des guerres, des grands anciens façon Lovecraft, des concepts personnifiés et des entités immatérielles omnipotentes. La grande surprise, c'est que c'est très accessible. L'histoire est posée en quelques pages et le voyage débute très rapidement. Le récit est fluide et sans temps mort, sans longueur. Si le scénario fait à première vue très blockbuster, simple prétexte à des bonnes bastons entre demi-dieux, on assiste en fait à la démonstration de toute la puissance de Thanos, aussi bien physique qu'intellectuelle. C'est même parfois assez perché et aux limites du psychédélisme.

    Côté dessin, c'est Ron Lim qui assure. Et c'est franchement beau. Aucune case n'est surchargée, les vastes étendues stellaires ne tombent pas dans le kitch ou le bâclé, c'est propre et net. Si les décors ne sont bien entendus pas extrêmement détaillés, c'est tout de même assez contemplatif et l'impression de grandeur et d'infinie est parfaitement retranscrite.

     

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    Quand je vous dis que c'est contemplatif... 

     

     

    Thanos : The final Threat

     

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    Deuxième récit publié par Marvel, celui-ci est beaucoup plus ancien puisqu'il date de la fin des années 70. Sans être une véritable histoire sur Thanos, c'est avant tout une histoire des Avengers dans leur énième tentative de sauver le monde.

    Pour l'empêcher de détruire la terre, les Vengeurs (composés à ce moment d'Iron Man, Captain America, Scarlet Witch, le Fauve, La Vision, Thor et Moondragon) seront aidé par Captain Marvel, Spidey, La chose et... l'incroyable Adam Warlock, némésis de Thanos. Le scénario réserve quelques surprises. Des retournements de situations, des personnages improbables, un team-up comique, du tabassage d'extra-terrestres... Le récit est beaucoup plus léger que The Thanos Quest, mais la fin est tout aussi sombre et dramatique.

     

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    Cette fois-ci, Starlin à décidé d'assurer aussi bien le scénario que le dessin. Et il faut l'avouer, il pêche un peu niveau graphique. Sans être laid, son trait est beaucoup plus grossier que ce qu'à produit Ron Lim 15 ans plus tard. Question d'époque peut-être, mais les couleurs sont très criardes, les décors moins travaillés.

     

    Dans tous les cas, pour respectivement 7 et 5$ (le premier étant un peu plus long), ces deux récits sont la parfaite occasion de découvrir le cosmique avec un personnage qui est devenu, au fil des ans, une figure tragique de l'univers Marvel. Et avec ses futures apparitions dans Avengers 2 et Guardians of the Galaxy, on risque d'en entendre parler très souvent. 

    DevilPoulet

     

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  • Les tortues ninja. Certains ont connus avec les comics dès le début,d 'autres avec les films, mais beaucoup ont découvert le dessin animé de 1987. Un animé qui est devenu culte pour deux raisons : Tout d'abord c'était un bon dessin animé pour enfants, et ensuite parce que la nostalgie nous fait idéaliser ce qui sortait quand on était gosses.

    Plus tard, d'autres animés, séries lives et autres films animés ont fait leur apparition jusqu'à encore quelques années. Ces animés / séries je ne les aient pas suivis car c'était «  pour les gosses » ( c'est con un ado ), alors quand j'ai entendu parler cette année d'une nouvelle série animée sur les tortues, je dois avouer que j'ai été curieux et … un peu inquiet quant-à la direction artistique. C'est sur Nickelodeon que sort l'anime. La chaîne a déjà produit l'excellente série Avatar et Korra sa suite

    Et donc aujourd'hui sont sortis les deux premiers épisodes de la série. Mais que vaut-elle finalement ?

    L'histoire commence donc dans les égouts où l'on rencontre les 4 tortues en plein entraînement. Ce premier passage est en fait une démo technique. En effet on est plongé directement dans l'action et cela permet de se faire à l'animation, mais on y reviendra plus tard. Cet entraînement nous montre aussi quel type d'humour est présent dans cette série. Et autant le dire tout de suite même si c'est une série pour enfants, ce premier épisode est assez drôle.

    Cet épisode est aussi l'occasion de nous raconter le passé des tortues et en particulier leur «  naissance » en tant que mutante. Encore une fois on diverge du comics originel mais avec les années on en a l'habitude et finalement on passe outre. On note d'ailleurs que même si leur genèse est dévoilée, on ne connaît bien entendu pas toute la vérité sur l'histoire et notamment sur Splinter.

    C'est vers le milieu de l'épisode #1 que commence réellement l'épisode avec la première sortie à l'air libre et donc les premiers ennuis ( je ne m'attarde pas dessus, ça gâcherait le plaisir de visionnage ).

    Que peut-on réellement dire sur l'histoire ? Pour un premier épisode il faut avouer que ça tient la route. L'épisode est bien rythmé et l'humour présent fonctionne assez bien et on arrive même à avoir un petit twist de fin pour nous donner envie de voir la suite. Pour les personnages il ne faut bien sûr pas s'attendre à de l'ultraviolence ou un Raphael badass comme dans le comics mais les caractères sont bien respectés.

          

    Graphiquement là aussi c'est plutôt réussi. Le design des tortues bien que pouvant laisser songeur passe finalement assez bien et s'accorde bien avec les scènes d'actions. Cependant il faut avouer que le design de Splinter est assez déroutant la première fois, mais là aussi on finit par s'habituer. Petite impression personnelle, Michelangelo fait vraiment très féminin dans certaines scènes. Les ennemis ont un design à la Mr.Smith en apparence mais on a tout à apprendre sur leur vraie identité et leur visage caché. Les humains pour le peu qu'on voit ont des visages assez spéciaux. Cependant on peut imputer ça à la direction artistique de la série. Reste enfin à savoir si la ville aura une vraie identité ou si elle sera simplement là pour les besoins de l'histoire.

    Le doublage est plutôt correct pour les 4 tortues même si la voix de Michelangelo peut paraître vraiment enfantine. Une petite réserve aussi pour la voix de Splinter qui est.. Spéciale.

    On note que le générique reprend le début du générique originel pour ensuite s'orienter vers une partie rap. On aime ou on aime pas, le fait est que d'entendre à nouveau ce générique touche la corde sensible de ceux qui ont connu la série de 87.

    Pour un premier aperçu on peut dire que la série semble correct. L'animation et le doublage sont bons sans être exceptionnel, ce qui arrive souvent dans l'animation américaine. On retrouve l'ambiance fun des tortues et les phases d'actions sont plutôt bonnes. On attend donc la suite pour découvrir quelles aventures attendront les tortues.

    Les enfants ( pour peu que la série passe en France ) sauront apprécier une série qui ne les prend pas pour des idiots tandis que les plus vieux poussés par la nostalgie sauront l'apprécier. On aurait presque envie de crier « Cowabunga ! » 


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    Après un premier tome sorti en mars 2012, la série de Greg Rucka revient avec le second tome reprenant les numéros 6 à 10 + un numéro d'Avenging Spider-Man et un de Daredevil. Le tome 1 étant de très bonne qualité tant au niveau de l'écriture que du coté graphique, on est en droit d'attendre que les 6 numéros de ce tome le soient tout autant. Le pari est-il tenu ?

    The Punisher #6-#10, The Avenging Spider-Man #6, Daredevil #11

    Dans les numéros précédents, Castle affrontait un gang ayant fait une tuerie lors d'un mariage. Au cours de sa quête de justice, il s'est confronté au nouveau Vautour engagé par ce gang pour le tuer. Il sortira vainqueur de la confrontation mais pas indemne.

    Grièvement blessé, Frank n'abandonne pas pour autant son rôle de justicier. Il continue ainsi sa traque des membre du gang «  The Exchange » pour leur faire payer le massacre perpétré quelques mois plus tôt. Au court d'une « mission » d'élimination, il rencontrera un soldat qui avec qui il a beaucoup de points communs.

    La seconde histoire se déroulant directement après les événements en rapport avec The Exchange, concerne le disque dur trouvé par Matt Murdoch. En effet, celui-ci continent toutes les informations qui pourraient détruire les principales organisations criminelles de l'univers Marvel. Le Punisher aimerait donc mettre la main dessus. C'est sans compter sur Spider-Man et Daredevil qui ne vont bien entendu pas le laisser faire.

    Comme pour le tome 1, on se retrouve encore une fois avec un récit de qualité. Le parallèle entre les forces de police tentant de résoudre l'affaire de The Exchange et la « mission » de Castle est toujours amené de manière fluide. On prend plaisir à suivre l'enquête des deux policiers et voir leur point de vue divergeant concernant le boulot du Punisher.

    Du coté de Castle, sa soif de justice est toujours présente et son évolution est plutôt réussie. Rucka arrive à donner de la profondeur au personnage qui ne parle pourtant que très peu.

    On peut reprocher un cliffhanger qui se voyait depuis le début et qui au final n'étonnera que très peu. Mais au moins il colle parfaitement à l'histoire et promet de donner quelque chose de bien.

          

    La seconde histoire ( Avenging Spider-Man #6 écrite par Waid et Rucka ) où Castle rencontre Daredevil est elle vraiment géniale. La confrontation morale des deux hommes est très bien exploitée. Murdoch ne peut faire confiance à Castle mais s'y retrouve contraint par la force des choses. Spider-Man quant-à-lui est toujours aussi drôle surtout confronté au Punisher de nature froide et qui ne se soucie pas de ses alliés. L'histoire se prolonge dans le Daredevil #11 cette fois écrit par Waid seulement. Ce mini crossover termine sur un retournement de situation absolument inattendu et qui prendra les lecteurs de court et qui laisse beaucoup d'interrogation sur les événements prochains.

    Coté dessin le niveau est vraiment très bon : Les personnages sont très expressifs et on peut par exemple pour Castle voir les marques de ses derniers affrontements ainsi que la fatigue se lire sur son visage. Il évolue physiquement tout au long de l'histoire pour finir presque méconnaissable.

    Les numéros d'Avenging Spider-Man et de Daredevil ont d'ailleurs leur style propre qui reste tout aussi bon mais qui montre bien que l'on est dans l'univers du man without fear et de l'araignée. Il est agréable de pouvoir sentir ce changement d'ambiance.

    Pour conclure on peut dire que cette série devient culte au fil des numéros que l'on enchaîne avec un réel plaisir. On y retrouve la violence d'un punisher mais aussi les faiblesses d'un homme blessé au combat ce qui apporte un vrai plus à l'histoire. De plus certains événements bien que prévisibles sont eux aussi très bien amenés et viennent ajouter une profondeur à l'histoire.

    Si vous êtes fan du Punisher et que vous avez lu et apprécié le premier tome, n'hésitez pas à vous procurer celui-ci qui j'en suis sûr vous donnera envie de lire la suite le plus rapidement possible. Si vous n'avez pas lu le premier tome, on ne peut que vous conseiller de le faire le plus vite possible pour enchaîner avec celui là !

    Cyborgwolf

              


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  • Après un numéro 1 très classique sorti début juillet, He-Man est revenu le 12 septembre pour le numéro #2. Pour ce numéro, Robinson est toujours crédité au scénario mais pour combien de temps encore ?. Cet épisode va-t-il finalement avancer dans l'histoire et être plus centré sur l'action ( ce que l'on est en droit d'attendre pour un titre « Musclor » )?

    He-Man and the Masters of the Universe #2

    Dans l'épisode précédent on rencontrait Adam fils d'un bûcheron malade. Adam semble ne pas être le prince d'Eternia se transformant en He-Man le guerrier le plus puissant de l'univers. Pourtant le jeune garçon est assaillit par des rêve de guerres épiques

    Après avoir prit conscience qu'il n'était pas destiné à être bûcheron toute sa vie, Adam quitte son foyer pour partir à l'aventure où il fera la connaissance de Zoar. Au court de son périple il sera attaqué par Beastman qu'il arrivera à défaire grâce aux souvenirs enfouis de He-Man que possède Adam.

    On commence le numéro #2 au château GreySkull ( le fameux ) où il semble que Skeletor ai élu résidence après avoir fomenté des plans diabolique que je ne dévoilerais pas. He-Man après avoir battu Beastman se rend dans le désert où il sera capturé par les soldats de Kronis qui va l'obliger à plaider sa cause dans un duel à mort contre sa garde personnelle. Adam va-t-il se sortir de cette situation périlleuse ? Et surtout, va-t-on enfin savoir pourquoi il ne semble plus avoir connaissance de son passé en tant que He-Man ?

    Qu'on ne se le cache pas, ce numéro reste introductif et très classique. On ne sort pas du schéma «  Adam va-t-il retrouver la mémoire ? La suite, au prochain épisode ! » et c'est plutôt une bonne chose quand on connait le matériel d'origine. He-Man n'a jamais été connu pour sa profondeur scénaristique même si son bestiaire et son univers global restent assez développés.

    Cependant, alors que le numéro #1 était à mon avis un peu trop avare en action et scènes faisant avancer l'intrigue, ce numéro #2 avance ( légèrement ) dans l'intrigue et propose un peu plus d'action. Malgré tout, que l'on ne s'attende toujours pas à voir He-Man lui même, ici c'est toujours Adam le héros et il est toujours à la recherche de son passé et de sa destiné.

          

    Coté dessin, ça pèche un peu. Les décors restent assez impressionnants et Greyskull en particulier reste assez agréable à l’œil. Les personnages quant-à eux sont pas extraordinairement bien dessinés. C'est en particulier vrai pour les visages qui sont par exemple vraiment raté dans les scènes d'actions, surtout pour les humains. Les monstres eux restent assez correct même si on est jamais vraiment ébloui par le style graphique. Une évolution graphique sera vraiment nécessaire si les numéros suivants venaient à devenir épiques.

    Ce numéro #2 est donc encore une fois classique et sans surprise. Toujours très peu d'indice sur les événements passés, on suit toujours Adam toujours aussi faible et inexpérimenté, victime de sa condition.

    On note une nette amélioration du coté action du titre avec une part plus importante de combats. Espérons que cela va aller crescendo dans le futur pour retrouver le vrai He-Man.

    Un numéro spécial de He-Man and the Masters of the Universe consacré au passé de Skelettor sera publié fin Octobre de cette année. On nous promet des révélations sur le passé du vilain emblématique et surtout, pourquoi est-il aussi méchant ( Parce que ! ) ?

    Cyborgwolf


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  • punk-rock-jesus-3-cover-Sean-Murphy

     Punk Rock Jesus #3/6

    Cet article dévoile en partie l'intrigue de cette issue, ainsi que des deux premiers numéros. 

     

    En deux numéros seulement, la mini-série de Sean Murphy s'est imposée comme un must-have du comic indépendant. Ce numéro 3 marque déjà la moitié de l'histoire, l'occasion de faire un petit bilan général et de voir quelle direction prend l’œuvre.

     

    Dans les numéros #1 et #2, on assistait à la naissance devant les caméras du monde entier du clone de Jésus-Christ, star d'un nouveau show de télé-réalité. Sur une période d'environ 6 mois, les choses évoluent très vite. La jeune mère déprime, se noie dans l'alcool, tente de s'évader. Ses liens avec le garde de la sécurité, Thomas, deviennent plus amicaux. Tous les personnages sont toujours sous le joug de Slate et de sa logique d'audience et de profit.

    Ce numéro 3 apporte énormément, et pour cause. Chris n'était alors qu'un bébé. Mais les choses évoluant très vite, nous voilà projetés 9 ans plus tard.

     

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    Il a grandi, n'est-ce pas? 

     

    Naturellement, Jésus-bis se voit confronté au monde extérieur, tellement différent du cocon aseptisé des studios de J2. L'école, les amis, les interview... Chris à droit à tout le régime d'un enfant « normal » (ou presque). Mais quand sa mère se fait renvoyer de l'émission, les choses changent. Pas content, le presque-pré-adolescent va commencer à se rebeller et à faire la foire dans les studios, taguant et cassant tout comme un vrai sale jeune de punk (vous commencez à entrevoir le côté Rock du titre?).

    Encore une fois, les choses vont très vite. On passe plusieurs années en quelques pages, les événements s'enchaînent sans aucun temps mort. La fin, encore une fois, nous laisse sur un énorme cliffhanger (que je ne révélerai pas) qui donne une toute nouvelle dimension au titre, nécessitant presque un regard totalement différent sur ce qui s'est produit avant. Où Sean Murphy veut-il nous emmener, je ne sais pas. Mais une chose est sure, j'ai hâte d'y être.

     

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    Cola, l'ours polaire, est toujours là pour notre plus grand plaisir

    Un point que je note tout de même. La menace que représentait les « New American Christians » dans les deux premiers semble un peu passée sous silence. Le danger semble venir de l'intérieur du studio, bien plus que de l'extérieur.

    Si vous en êtes au #3, vous commencez à le savoir, surtout que je le répète dans chacune de mes review, mais Murphy nous donne encore (et toujours) un véritable cours de dessin. Pas besoin de couleur pour rendre les planches magnifiques. Les expressions sont incroyablement bien rendues, sans forcément énormément de détails, tout en accordant une place importante au background. Et le papier est très agréable, loin du papier-journal cheap qu'on retrouve pour certains titres (je pense à Hawkeye...).

     

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    Si vous en doutez encore, je crois que je ne peux plus rien pour vous. Punk Rock Jesus est en phase de devenir un classique incontournable du genre. A la moitié de l'histoire, je ne trouve aucun défaut à ce titre. Si vous n'avez pas commencé, attendez la sortie en HC, ça vaut vraiment le coup. Pourquoi s'en priver ? C'est toujours chez Vertigo, toujours 3$ pour un peu plus de 30 pages.

     

    DevilPoulet


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